Pour la journée mondiale du livre, l'Association Les Sources, a organisé un salon du livre sur la place Jeanne hachette à Beauvais. Merci aux membres de l’association Les Sources, pour leurs accueilles chaleureux.
Entouré par présidente et membres des Femmes Démocrates. Merci pour votre solidarité avec la lutte des femmes iraniennes pour la liberté.
Avec Charles Locquet , Maire Adjoint, à Ville de Beauvais.
Le combat d'une vie, le combat d'une femme !
Heureux d'avoir pu de nouveau échanger avec la formidable Massoumeh Raouf sur le salon du livre de Beauvais.
Elle a connu la répression, la prison,
en Iran avant d'être arrêtée puis incarcérée en 1981 car opposante au régime des mollahs : « En 10 minutes, on m'a jugé et condamné à 20 ans de prison. J'avais 20 ans. Voilà la justice des mollahs en Iran, et ça continue encore. L'autrice ne restera que quelques mois dans cette prison, puisqu'elle planifiera son évasion avec d'autres filles courageuses. Une histoire qu'elle raconte dans son ouvrage Évasion de la prison d'Iran. « Les femmes sont devenues les ennemies jurées du régime : on m'a taxé d'ennemi de Dieu. Dès lors que l'on vous considère comme telle, vous n'avez aucun droit. Cette sauvagerie que j'ai connu est la même que l'on retrouve aujourd'hui en Iran. Après s'être évadée et réfugié en France son combat continue. « Je veux que les responsables de ces crimes soient inscrits sur la liste des terroristes ! »
En siégeant au Conseil national de la résistance Iranienne (CNRI), engagée auprès d'Amnesty international, Massoumeh continue de se battre, avec sa parole et ses mots, en parcourant les salons littéraires pour raconter son histoire, celle de son frère et de milliers de personnes vivant encore sous le régime des mollahs.
Itw extraite de l'Observateur.
J’en profite pour rendre hommage au combat d’une femme pour la liberté ! Massoumen Raouf !
Elle a connu la prison et la répression pour s’être opposée au régime des mollahs.
Présente sur le salon, elle m’a raconté une partie de sa vie et son combat pour la liberté de son pays ! On ne peut qu’être admiratif !
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